Réflexions en vrac...
Nos réflexions conceptualisent la portée de notre conscience\r\n
A l'inverse des articles qui approfondissent (à ma manière) certains sujets, les réflexions en vrac sont plus une sorte de foire aux questions. En effet, nous nous posons souvent des questions basés sur une expérience précise, et si les articles sont une réflexion plus générale de notre monde, les réflexions en vrac ne seront que des épiphénomènes (ou presque).\r\n
Finalement, je crois qu'il est important de ne pas se contenter de généralités mais les appliquer à notre vie au quotidien.
Nos réflexions conceptualisent la portée de notre conscience\r\n
A l'inverse des articles qui approfondissent (à ma manière) certains sujets, les réflexions en vrac sont plus une sorte de foire aux questions. En effet, nous nous posons souvent des questions basés sur une expérience précise, et si les articles sont une réflexion plus générale de notre monde, les réflexions en vrac ne seront que des épiphénomènes (ou presque).\r\n
Finalement, je crois qu'il est important de ne pas se contenter de généralités mais les appliquer à notre vie au quotidien.
Ai-je bien fait de faire ce site ? ou alors j'ai pas bien fait !
A cet instant, je doute vraiment du bien fondé de mon site internet (même si on ne peux pas réellement dire que j'ai des lecteurs).
En effet, j'ai la sensation que ce site fige ma pensée à un instant t et qui, de fait, fige mon évolution. Suis-je en train de m'enfermer dans un cycle ou même si ma pensée change, les écrits restent et que, en dernière analyse, un changement de pensée influerait sur la perception que les gens peuvent avoir de moi en rendant cette perception plus complexe à appréhender.
Je laisse donc ce message en insistant bien sur le fait que ce que vous pourrez lire ne sera qu'un fragment de pensée qui reflète une évolution et non pas une certitude immuable.
Je voudrais quand même continuer ce site car il y a 2 arguments qui, selon moi, sont à prendre en considération.
En effet, la première chose est que je ne suis pas vraiment assidu sur la fréquence de publication donc, au final je n'ai pas vraiment d'impact sur les gens donc je peux bien faire ce que je veux, cela ne changera que trop peu la perception de mon entourage. Dans tout les cas, il est évident que je fais ce site pour moi car il m'aide aussi à évoluer par les réflexions que je propose.
La deuxième chose, et non des moindres, est que j'estime qu'il est vraiment urgent que nous changions notre façon de voir les choses ...
J'ai la sensation que le monde accélère vers une issue qui n'est pas vraiment optimale. De fait, lors de changements soudain, j'imagine que notre façon de penser détermineront nos choix et je me demande sincèrement quelles choix ferons-nous si nous restons dans notre même grille de lecture ? ... après tout ...
En effet, j'ai la sensation que ce site fige ma pensée à un instant t et qui, de fait, fige mon évolution. Suis-je en train de m'enfermer dans un cycle ou même si ma pensée change, les écrits restent et que, en dernière analyse, un changement de pensée influerait sur la perception que les gens peuvent avoir de moi en rendant cette perception plus complexe à appréhender.
Je laisse donc ce message en insistant bien sur le fait que ce que vous pourrez lire ne sera qu'un fragment de pensée qui reflète une évolution et non pas une certitude immuable.
Je voudrais quand même continuer ce site car il y a 2 arguments qui, selon moi, sont à prendre en considération.
En effet, la première chose est que je ne suis pas vraiment assidu sur la fréquence de publication donc, au final je n'ai pas vraiment d'impact sur les gens donc je peux bien faire ce que je veux, cela ne changera que trop peu la perception de mon entourage. Dans tout les cas, il est évident que je fais ce site pour moi car il m'aide aussi à évoluer par les réflexions que je propose.
La deuxième chose, et non des moindres, est que j'estime qu'il est vraiment urgent que nous changions notre façon de voir les choses ...
J'ai la sensation que le monde accélère vers une issue qui n'est pas vraiment optimale. De fait, lors de changements soudain, j'imagine que notre façon de penser détermineront nos choix et je me demande sincèrement quelles choix ferons-nous si nous restons dans notre même grille de lecture ? ... après tout ...
Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu'il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau.
- Albert Einstein
Majorité et normalité sélective
Il est selon moi amusant de voir que notre définition de la relation entre la majorité et la normalité est très dépendante de nos propres convictions.
En effet, lorsque une théorie est couramment admise par la majorité et qu'elle ne dérange pas notre conception du monde dans lequel on vit, nous acceptons toujours l'idée que si la grande majorité des gens le pensent aussi c'est qu'on doit bien avoir raison.
Pour autant, si nous faisons parti de la minorité et que nous voulons essayer de convaincre les gens, nous arrivons facilement à remettre en cause la majorité en mettant en avant le fait que ce n'est pas parce que le plus grand nombre a une idée que l'idée est bonne.
De plus, il me semble tout aussi important ne pas oublier que notre raisonnement est amoindri par l'effet de groupe par soucis d'intégration, de facilité, de conformisme, et tant d'autres raisons qu'il serait impossible d'en faire la liste exhaustive.
Nos jugements se basent sur nos idées, mais je crois qu'au delà de ça, nos idées se basent sur notre propre confort psychologique.
De fait, les jugements que l'on éprouve ne reflètent que très rarement la réalité mais reflètent nos besoins de voir les choses de la manière la plus confortable pour nous.
En effet, lorsque une théorie est couramment admise par la majorité et qu'elle ne dérange pas notre conception du monde dans lequel on vit, nous acceptons toujours l'idée que si la grande majorité des gens le pensent aussi c'est qu'on doit bien avoir raison.
Pour autant, si nous faisons parti de la minorité et que nous voulons essayer de convaincre les gens, nous arrivons facilement à remettre en cause la majorité en mettant en avant le fait que ce n'est pas parce que le plus grand nombre a une idée que l'idée est bonne.
De plus, il me semble tout aussi important ne pas oublier que notre raisonnement est amoindri par l'effet de groupe par soucis d'intégration, de facilité, de conformisme, et tant d'autres raisons qu'il serait impossible d'en faire la liste exhaustive.
Nos jugements se basent sur nos idées, mais je crois qu'au delà de ça, nos idées se basent sur notre propre confort psychologique.
De fait, les jugements que l'on éprouve ne reflètent que très rarement la réalité mais reflètent nos besoins de voir les choses de la manière la plus confortable pour nous.
Le test du courage vient quand on est dans la minorité. Le test de la tolérance vient quand on est dans la majorité.
- Ralph W. Sockman
Qualités & Défauts
Pourrait-on classifier les gens comme vous et moi en fonction des qualités et des défauts que l'on possède ?
Si je me pose cette question c'est qu'à l'heure actuelle il me semble que c'est effectivement la position dominante. En effet, nous jugeons les personnes que l'on rencontre sur la base de notre propre considération mais je me demande si c'est la voie à suivre.
A mon sens, nous n'avons que des traits de personnalité et, à la base, il n'y a aucune notion de bon ou de mauvais. Car ce qui fait de ce trait une qualités ou un défaut n'appartient qu'à celui qui juge. Nous n'interprétons les traits de personnalité que par l'impact qu'il a sur notre propre personne. Il est donc important, selon moi, d'accorder une importance particulière non pas aux traits de personnalité de l'autre mais à notre propre façon de juger les personnes en fonction du degré d'assouvissement de nos attentes quelconques.
De même, nous ne devrions pas nous arrêter sur le sens subjectif que nous donnons aux mots mais nous concentrer sur le mot en lui même. Prenons l'exemple de la manipulation. Nous y associons un sens péjoratif, sans doute par volonté de protection en se positionnant du point de vue de la victime et donc celle qui subit. Pourtant, est-ce vraiment un défaut ? Car si l'on regarde vraiment le mot sans y attacher un quelconque jugement personnel, le fait d'avoir la possibilité de manipuler les gens ne veut pas dire que l'on est forcément animé de mauvaises intentions. Après-tout le Professeur X des X-Men est là pour en témoigner. Il en résulte que la qualité ou le défaut n'est définissable que par la manière dont le trait de caractère est utilisé.
De fait, et peut-être que je m'éloigne un peu du sujet, nous devrions peut-être changer notre façon de voir les choses car peut importe les outils qu'on a à disposition, celui qui veut réellement créer de belles choses utilisera ce qu'il a à bon escient.
Si je me pose cette question c'est qu'à l'heure actuelle il me semble que c'est effectivement la position dominante. En effet, nous jugeons les personnes que l'on rencontre sur la base de notre propre considération mais je me demande si c'est la voie à suivre.
A mon sens, nous n'avons que des traits de personnalité et, à la base, il n'y a aucune notion de bon ou de mauvais. Car ce qui fait de ce trait une qualités ou un défaut n'appartient qu'à celui qui juge. Nous n'interprétons les traits de personnalité que par l'impact qu'il a sur notre propre personne. Il est donc important, selon moi, d'accorder une importance particulière non pas aux traits de personnalité de l'autre mais à notre propre façon de juger les personnes en fonction du degré d'assouvissement de nos attentes quelconques.
De même, nous ne devrions pas nous arrêter sur le sens subjectif que nous donnons aux mots mais nous concentrer sur le mot en lui même. Prenons l'exemple de la manipulation. Nous y associons un sens péjoratif, sans doute par volonté de protection en se positionnant du point de vue de la victime et donc celle qui subit. Pourtant, est-ce vraiment un défaut ? Car si l'on regarde vraiment le mot sans y attacher un quelconque jugement personnel, le fait d'avoir la possibilité de manipuler les gens ne veut pas dire que l'on est forcément animé de mauvaises intentions. Après-tout le Professeur X des X-Men est là pour en témoigner. Il en résulte que la qualité ou le défaut n'est définissable que par la manière dont le trait de caractère est utilisé.
De fait, et peut-être que je m'éloigne un peu du sujet, nous devrions peut-être changer notre façon de voir les choses car peut importe les outils qu'on a à disposition, celui qui veut réellement créer de belles choses utilisera ce qu'il a à bon escient.
Ungrand pouvoirtrait de caractère implique de grandes responsabilités.
- Spiderman