Physique quantique & Philosophie
Toute science commence comme philosophie et se termine en art. - Will Durant
Rentrons-nous dans une ère où la science prend un chemin plus spirituel (ce mot peux faire peur mais c'est pourtant bien un choix dans ma phrase)?
En effet, c'est la question que je me pose en m'étant intéressé depuis quelques temps à la physique quantique. Bien que cette science n'est encore qu'à ses débuts, j'ai la sensation que notre paradigme risque d'en être bouleversé.

Au delà de l'aspect physique (materiel, concret, ...), je crois que cette science nouvelle nous propose une vision bien plus philosophique (voir spirituelle) que l'on pourrait imaginer.
Introduction
Dans cet article, je ne m'attarderais pas sur la physique en tant que science car d'une part, il y a déjà plein de gens qui l'expliquent bien, et d'autre part, je ne me sens pas capable de le faire car je n'ai que des connaissances limités. D'ailleurs, je ne peux que vous conseiller de vous y intéresser car sinon vous risquez d'être un peu perdu. Je voudrais surtout m'attarder sur l'aspect psycho-philosophique de cette science car il me semble que l'on oublie beaucoup cet aspect.
En effet, parmi les articles ou documentaires que j'ai pu voir sur le sujet, je n'ai pas de souvenirs d'avoir eu autre choses que des explications réellement scientifique et déviant parfois sur des débats orientés vers l'éthique ou la morale (comme le voyage dans le passé avec le paradoxe du grand-père). Si j’apprécie grandement ce domaine et que j'apprécie particulièrement tout ces documentaires, il n'en reste pas moins que des questions d'ordre plutôt spirituelles s'imposent à moi.

La théorie du tout
god-eye.jpg
Pourrions-nous être le pont entre ces deux mondes ?
Pourrions-nous être une composante de cette théorie du tout ?
La physique quantique ou mécanique quantique est une science qui, à bien des égards, complète la théorie de la relativité générale du célèbre Albert Einstein. En effet, si Albert Einstein nous a en grande partie expliqué comment fonctionnait l'infiniment grand, la physique quantique est censée nous expliquer comment fonctionne l'infiniment petit. A ce titre, beaucoup de chercheurs ont pour objectif de trouver une théorie qui pourrait fusionner ces deux espaces d'études tellement grands et riches. Nous l'appelons la théorie du tout

C'est au final ma première question car, plus j'y réfléchi et plus je me dit que nous pourrions représenter cette théorie du tout. Il me semble que l'on mélange parfaitement le coté "physique" et déterministe de part notre corps (infiniment grand), et le coté "mental" et probabiliste de part notre conscience (infiniment petit). Dès lors, la science ne se limiterait plus à l'étude empirique et rigoureuse de notre monde matériel, mais elle y incorporerait une notion pour le moins déroutante qu'est la conscience.
Particules élémentaires
Pour résumer ici la physique quantique, les particules élémentaires sont les corpuscules appartenant au monde de l'infiniment petit comme les photons par exemple. La physique quantique nous montre que chaque particule peut non seulement agir comme un corpuscule "physique" mais aussi agir comme une onde et donc, avec toutes ses propriétés.
onde-particule.jpg
Notre monde est-il "onde" ou "particule" ?
Si les particules répondent à un phénomène ondulatoire (je laisse ici le coté corpuscule), nous pouvons nous demander si le départ de toute matière est constitué d'énergie. Si une multitude de mouvements comme le yoga ou autres principes spirituelles l’annonçaient déjà d'une autre manière, c'est la première fois (il me semble en tout cas) que la science rejoint ce mouvement (en parti bien sûr). Voila pourquoi la physique quantique m’intéresse tant car, selon moi elle est bien plus qu'une simple science empirique ou expérimentale, mais nous ouvre les portes d'une science nouvelle où un facteur tel que la conscience ne deviens plus négligeable.

La réalité ne serait finalement qu'une simple structure de notre conscience collective qui fonctionnerait peut-être comme une démocratie à l'échelle du cosmos.
Cette pensée m’intéresse beaucoup car, plus nous avançons, et plus nous nous apercevons (du moins selon moi) que la réalité n'est au final qu'une perception de nos sens et n'est donc qu'une conséquence de notre conscience. Je ne prétend évidemment pas que tout est illusion mais, si nous regardons bien, dans l'Histoire telle que nous la connaissons et telle que je l'interprète, nous sommes toujours parti du postulat que la matière était le commencement et que notre conscience ne servait qu'à analyser et comprendre. Je trouve vraiment intriguant et intéressant le fait de concevoir un monde et plus globalement un univers crée à partir d'une sorte de conscience collective car, en dernière analyse, on pourrait influer sur le monde avec des pensées communes et sincères.

Petite pensée "bonus", on remarque que plus nous observons des choses minuscules, plus notre impression de vitesse est grande. En effet, lorsque j'observe une sauterelle, son saut me paraît plus semblable à une téléportation car je perd la sauterelle de vue tant son mouvement est rapide. Si j'applique ce principe à l'infiniment petit je me demande si les électrons se téléportent d'une orbite à l'autre ou si elle s'y déplacent plus rapidement que notre capacité d'observation.
Les probabilités
probabilites.png
Les probabilités sont-elles nées de la conscience ?
Ce second point est intéressant car selon le principe de la physique quantique, nous ne pouvons analyser les particules que par l'intermédiaire de probabilités. En effet, nous ne pouvons connaitre à l'avance la direction ou l'état d'une particule. De cette manière, la seule possibilité pour analyser une particule sera de calculer la probabilité de ses différents composants (vitesse, direction, etc ...). Il en résulte que dans l'étude de la physique quantique, nous ne pouvons raisonner en terme de certitudes mais plutôt en terme de possibilités.

C'est, à mon sens, une des applications pratique de ces probabilités qu'est la conscience. En effet, notre conscience, bien que déterministe à de nombreux égards, nous propose une bonne partie d'incertitudes et nous choisissons la probabilité la plus grande (selon notre logique) pour l'intégrer à notre propre conception.

Nous ne nous concentrons que peu sur l'acte de la personne observée car nous préférons calculer les différentes probabilités de notre propre interprétation.

Au final, en caricaturant un peu la situation, cela reviens à regarder le résultat d'un lancé de dés plutôt que de nous demander qui a réaliser ce lancé et pourquoi.
De même, nous avons souvent tendance à nous projeter dans un avenir totalement incertains pour nous rassurer (ou quel qu’en soit la raison). Pourtant, il me semble que notre projection n'est pas née de l'observation neutre du présent mais plutôt par rapport à la probabilités subjective que nos désirs soient réalisés.

Tous nos choix sont régis par la probabilité la plus grande (selon notre système de pensée) de satisfaire nos désirs et attentes et ces mêmes probabilités n'existent que par la projection de notre individu dans un futur construit par nos schémas mentaux. Est-ce que la conscience n'est pas justement l’intégration de la composante probabiliste de notre monde ?

Pour conclure ce chapitre, il est intéressant de noter que, une personne, un avenir ou un choix ne sera jamais perçue de façon identique en fonction de l'observateur ce qui m'amène naturellement au point suivant.
L'importance de l'observateur
physique-observateur.jpg
L'observateur n'a-t-il vraiment que ce rôle là ?
En physique quantique, les particules élémentaires n'ont pas de caractéristiques précises et déterminés car ce n'est que lorsque l'on mesure une caractéristique qu'elle se détermine. Pour simplifier, un arbre n'est un arbre que parce qu'on l'observe. Dans une certaines mesure, c'est donc notre observation qui créer la réalité.

Il me vient à l'esprit une question philosophique bien connue qui s'apparente un peu au point abordé. En effet, un arbre qui tombe dans une forêt fait-il du bruit s'il n'y a aucun témoin pour le voir ou l'entendre ?
Cette question prend tout son sens en la regardant d'un point de vue quantique. En effet, le chat de Schrödinger étant assez connu, nous pourrions créer une nouvelle expérience de pensée. Considérons que l'arbre en question soit dans un état superposé où dans le premier état l'arbre fait du bruit lorsqu'il tombe, et dans le second l'arbre tombe silencieusement. La présence ou non de l'observateur déterminera l'état de l'arbre qui convient.

D'après les expériences menés, on constate que si un observateur est présent, la particule possède alors des paramètres fixes. A l'inverse, l'absence d'observateur remet en avant le principe d'incertitude ou chaque particule n'a plus de paramètres définis. Bien que ce concept est difficile à appréhender, je m'amuse à simplifier ce concept dans le sens ou si votre ami n'est pas avec vous, vous ne saurez jamais si il a laissé poussé sa barbe avant de l'avoir vu.

La question que beaucoup de gens se posent à juste titre est celle-ci :
Comment la particule mesurée sait-elle qu'elle est mesurée pour pouvoir fixer ses propres caractéristiques ?
Au final c'est bien cette question la plus importante selon moi mais il me semble qu'elle pourrait être tournée de manière différente. En effet, cette question par du postulat que la "fixation" des caractéristiques des particules incombe à la particule elle même. Si c'est effectivement une possibilité, n'est-ce pas non plus une possibilité que l'observateur fixe lui même la particule au travers d'un cheminement quelconque et qui resterait à découvrir ?
L'intrication quantique
L'intrication quantique est, à mon sens, un concept totalement inédit et déroutant. En effet, il nous apprend que si deux particules ont été en contact à un instant seront liés à jamais et donc interdépendantes. Si l'on sépare ces deux particules (par exemple une particule sur la Terre et une autre sur la Lune), changer les paramètres de l'une changera instantanément les paramètres de l'autre.

intrication-quantique.jpg
Existerait-il un lien qui unit tous le vivant ?
Il en résulte un problème de taille car au final, l'information "voyagerait" plus vite que la lumière et Albert Einstein nous ferais les gros yeux. Pourtant, une question me tourmente car je ne comprend pas pourquoi l'information devrait forcément "voyager". En effet, si nous prenons l'exemple d'un vase communicant avec une bille qui flotte à chaque extrémité, les deux billes ont la hauteur qui varie en fonction de la position de l'eau. Ici c'est l'eau qui défini le paramètre de la hauteur pour les billes et pourtant le changement serait bien instantanée entre les deux billes. Je m'amuse à penser que le supposé vide qui n'est pas vide nous sert de vase communicant et qu'au final c'est une bonne leçon de penser que si nous parvenions à vivre en harmonie tous ensemble nous pourrions probablement atteindre quelque chose de tellement extraordinaire.

Une autre pensée m'interpelle car, s'il est vrai que je nourris quelques interrogations concernant la théorie du Big Bang je ne remet pas en doute l'expansion de l'univers. De fait, si toutes les particules qui composent notre univers ont été en contact les unes aux autres dans cette "tête d'épingle", ne pourrions nous pas nous autoriser à imaginer que nous sommes le résultat d'un ensemble et que chacun de nous est relié d'une manière ou une autre.

Il est intéressant de noter que, si chacun a sa préférence, il n'en demeure pas moins que l'unification (ou du moins l'origine commune) est presque omniprésente dans toutes les croyances au sens large. Je précise au sens large car, selon moi, le principe de la laïcité reste la croyance que l'égalité ne peut passer que par la neutralité des religions tout comme l'athéisme est la croyance que Dieu n'existe pas.
- "Vivre en harmonie avec la nature" ...
- "Dieu est en chacun de nous" ...
- Le darwinisme (bien que partant uniquement du vivant, le principe de la provenance commune me parle tout de même).
- Les dieux représentants les éléments naturelles et interagissant avec les hommes unissent les deux mondes en apparence totalement distincts.
Je pourrais, je pense, trouver d'autres relations mais cela ne me semble pas nécessaire.
L'incertitude d'Heisenberg
Dans l'optique de mesurer les paramètres d'une particule, le physicien Werner Heisenberg nous a fait une surprise de taille (le terme de surprise étant mal choisit car cette science entière est une surprise à mes yeux). En effet, selon ce principe d'incertitude et pour une particule donnée, il est impossible de connaître simultanément sa position et sa vitesse exacte.
Si nous devions imager ce principe, nous pourrions prendre l'exemple d'une balle de tennis. Soit vous avez une image de la balle et dans ce cas, nous pourrons voir sa position contrairement à sa vitesse ou direction (les deux étant liés car si il y a vitesse il y a un vecteur et donc une direction). Si nous prenons une vidéo du déplacement de la balle sans avoir la possibilité de faire un arret sur image, nous aurons la possibilité de voir sa trajectoire et calculer sa vitesse. En revanche il nous sera impossible de determiner avec précision sa position.

heisenberg.png
Pourrions-nous allier les deux grâce à notre conscience ?
Ce principe, un peu abstrait sans doute, m'amène à une question d'ordre sociale. En effet, je me demande si nous ne pourrions pas comparer ces particules à notre propre individualité et à l'observation que l'on peut faire de nous-même.
En effet, dans notre évolution, nous passons notre temps à être observé par notre entourage (et jugé accessoirement mais c'est un autre débat). La question que je me pose est de savoir si nous n'avons pas ce même problème d'incertitude pour observer nos semblable.
Si nous prenons la position et la direction (car la vitesse n'a pas vraiment d'influence majeure dans ma réflexion), il me semble que nous avons au moins deux manières de concevoir les choses.

Lorsque nous observons une personne, nous pouvons mettre l'accent sur la direction que cette dernière a prise lors de son évolution.
- "Tu as changé"...
- "Tu n'étais pas comme cela avant"...
- "Je suis déçu par ce que tu es devenu"...

A l'inverse, si nous nous concentrons sur l'état présent de cette personne et donc sa position, la direction n'est plus un critère de jugement car tout ce qui compte c'est ce que nous sommes. De fait, nous n'avons plus de jugements pré-établis par notre expérience et nous découvrons la personne telle qu'elle dans l'instant présent. Il me semble nécéssaire de pouvoir allier judicieusement les deux types d'observations car si l'évolution est importante à observer dans sa globalité, ce que nous sommes à l'instant précis de l'observation ne devrait pas souffrir de préjugés sur ce qu'on a été. Et cela ouvre la porte à toute une morale qui "pardonne" et qui "laisse une chance".
- "L'erreur est humaine, mais la répéter est diabolique"...
- "La réparation de la faute d'un père ne doit pas incomber au fils"...
- "Il n'y a pas d'erreurs, uniquement des leçons"...

Nous avons tous jugés un peu vite certaines personnes en fonction de ce qu'on nous en disait, de ce qu'on en connaissait, car au final, ce n'est jamais la personne de l'instant que nous jugeons mais toujours son évolution dans le temps, sa direction tout comme sa vitesse.
Les dimensions supplémentaires
Que ce soit la théorie des cordes ou la gravité quantique à boucle, nombreuses sont les théories à avoir vu le jour en s'appuyant directement sur la physique des particules. Si je ne suis pas réellement au point sur les différentes théories, une attire particulièrement mon attention. En effet, la théorie des cordes prend une place toute particulière dans mes réflexions vu qu'elle parle des univers parallèles et des dimensions supplémentaires. Pour comprendre le concept des dimensions supplémentaires, nous imaginerons un câble. Vu de loin, tout du moins à bonne distance, nous ne verrons qu'une ligne (première dimension associée à la longueur - l'axe "x"), rapprochons nous et nous verrons que la "ligne" a une épaisseur (deuxième dimension associée à la hauteur - l'axe "y"). Encore un peu plus près, nous nous rendons compte que l'épaisseur n'est pas seulement verticale mais aussi horizontale (troisième dimension associée à la profondeur - l'axe "z"). Nous finissons par nous rendre compte que l'observation n'est dû qu'au temps que l'on observe et donc nous avons la quatrième dimension associé au temps "t". Cette explication un peu lourde n'est là que pour mettre en avant le fait que, selon la position dans laquelle nous nous trouvons, notre conception du monde change.

fractales.jpg
En zoomant, vous observerez la même chose indéfiniment et verrez des dimensions cachées
Pourrions-nous, nous aussi, nous trouver dans une position qui ne nous permette d'appréhender que nos quatre dimensions sans penser que d'autres puissent exister sans pour autant être visible pour nos sens ?

Mieux encore, les dimensions supplémentaires ouvrent la porte aux univers parallèles. Ce concept d'univers parallèle nous dit qu'il existe une multitude d'univers comprenant toute l'évolution possible des individus. Si nous prenons un choix simple, si a midi j'hésite entre manger du riz ou des patates il y a un univers ou j'aurais choisi le riz et un autre ou ce sera les patates. Les deux univers existent et nous passons d'univers en univers en fonction du choix que nous faisons. Je ne sais pas si j'ai bien compris le concept et je ne sais pas non plus si ce que j'écris est clair mais ce n'est pas vraiment important j'imagine.

Le principe d'univers parallèle me fais penser, sans vraiment pouvoir argumenter, au concept des vérités multiples et individuelles. En effet, nous avons tous une conception différentes de ce qui nous entoure et bien que la plupart ont pour ainsi dire une conception très semblable il n'en reste pas moins des différences. Est-ce que de notre pensée découle des sortes d'univers parallèle ? Je me pose cette question car, finalement, si une personne peut être vue différemment en fonction de celui qui juge, ne vivons-nous pas chacun dans notre propre univers parallèle où ce ne serait pas nécessairement nos choix mais notre vision du monde le point de départ ?
Conclusion
Comme je l'avait dit en introduction, nous avons d'un coté le corps physique qui obéis au lois physiques de notre monde. Il n'est bien évidemment pas nécessaire d'y revenir dessus. D'un autre coté, nous avons notre conscience qui nous permet d'appréhender un monde non déterministe et régit par l'absence de certitude.

physique-surprise.jpg
Je crois que la physique quantique nous réserve encore bien des surprises
La physique quantique a permis d'établir la théorie des cordes et le principe d'univers parallèles. Cette façon de voir me permet aussi de rebondir sur le fait que ces univers parallèles représentent bien plus qu'une simple explication car, a mon sens, ne vivons-nous pas chacun dans un de ces univers ? notre conception du monde n'est-elle pas unique de par notre conscience individuelle ? Je vais sans doute un peu loin mais je m'amuse à penser que peut-être nous pourrions être à l'origine de cette physique quantique qui répond à notre "conscience".

Est-ce que nous sommes des particules élémentaires de quelque chose de plus vaste ? En effet, pour reprendre le chapitre des dimensions supplémentaires, pourrions-nous être l'axe "x", "y", "z" ou même "t" de part notre conscience et donc une simple "2D" dans un univers encore bien plus immense que notre imagination nous permettrais de concevoir ?

Au final si tout est énergie et que, par l'intermédiaire de notre conscience nous ancrons chaque chose dans une réalité physique plus concevable pour nos sens je pense que nous devrions nous demander si le monde dans lequel nous vivons n'a pas été formé à travers les ages par les civilisations qui nous ont précédés et que, malgré nous, nous faisons évoluer le monde qui nous entoure.
On peut faire l'association d'idée avec les principes comme :
- L'esprit commande le corps
- le phénomène des placebos
- La somatisation
- La loi d'attraction

Bien que je ne détiens aucun savoir ni aucune vérité, je m'amuse seulement à penser que si l'on pousse un peu loin la réflexion (peut-être trop loin même), la pensée n'est plus seulement un outil pour constater et expliquer ce qui est plus ou moins observable. La pensée devient créatrice car elle influe directement sur la matérialité de notre monde. De plus, si il n'y a encore pas si longtemps, cette pensée était plutôt réservée à des personnes sortant un petit peu de la norme (selon notre société bien sûr), la science rejoint cette vision d'elle même sous des aspects peut-être différents mais qui m'évoque la même chose.

Pour finir, je ne prétends pas comprendre la physique quantique, bien au contraire. Il me semble en effet que je ne comprends rien du tout et les idées que je développe ici ne sont ni des hypothèses à vérifier ni des preuves en soi. Ces idées sont vraiment l'expression de ma façon de voir certaines choses en proposant d'abord à moi même des pistes de réflexion et en aucun cas je ne prend mes dires pour vrais.